La Prépa Saint Germain est née d’un constat simple: beaucoup de candidats échouent au concours de l’INSP parce qu’ils sont préparés dans de mauvaises conditions.

La multiplication des cours et des manuels est anxiogène

Il y a une véritable course à la donnée. On a l’impression qu’il faut ficher tous les manuels, tous les rapports, toutes les notes. Mais la quantité ne fait pas la qualité: vous n’êtes pas évalués sur l’étendue de vos connaissances, mais sur votre aptitude à produire un raisonnement structuré pour répondre au sujet qui vous est posé.

L’apprentissage est trop passif

En général, pendant les cours, le prof lit ses fiches et chacun s’efforce de prendre des notes. Vous perdez ensuite beaucoup de temps à la maison à refaire des fiches à partir de vos notes, au lieu de vous concentrer sur un apprentissage régulier. Ce n’est seulement qu’à quelques semaines des épreuves que vous relisez à la hâte votre stock de fiches, dans une panique totale.

On ne vous aide pas à corriger vos points faibles

Les corrections de copies, souvent sommaires, se contentent de remarques vagues (problématique faible, musclez votre copie, structurez davantage) mais ne vous proposent jamais de solution concrète pour y remédier. Vous traînez ainsi les mêmes défauts tout au long de l’année sans savoir comment progresser.

Chaque cours doit être l’occasion pour vous d’engranger un maximum de bénéfices. Pour cette raison, nous avons élaboré une pédagogie innovante qui repose sur trois principes:

• PREPARATION – Un bon cours est un cours qui se prépare. Nous pensons qu’il est essentiel que vous révisiez un thème avant chaque cours. D’une part, cela vous force à apprendre régulièrement. D’autre part, cela vous permet de profiter au maximum de la présence de l’enseignant, qui pourra éclaircir les points difficiles et apporter des compléments opérationnels.

• ACTUALITE – Un bon cours ne doit pas reprendre ce que l’on peut trouver dans un manuel. Nos intervenants sont là pour vous apporter ce petit supplément d’âme administratif que vous ne trouverez nulle part ailleurs, et qui vous permettra de faire la différence le jour des épreuves.

• ENTRAINEMENT – Un bon cours ne doit pas être passif. Il est primordial que vous soyez sollicités afin d’identifier les points obscurs, d’interroger directement l’enseignant sur ce qui vous pose problème, et de voir comment le reste de la classe appréhende le sujet.

Les épreuves écrites d’admissibilité sont celles que l’on prépare le plus, pendant de longs mois. Ce sont également celles qui suscitent le plus de déception au moment des résultats: un admissible non-admis garde de l’espoir pour l’année suivante, mais un non-admissible se remet souvent totalement en cause, voire abandonne.

Il n’est pas toujours simple de comprendre ce que l’on a mal fait, alors que l’on pensait être prêt(e). Pour cette raison, nos cours de préparation à l’écrit sont structurés autour d’un objectif-clé : le feed-back permanent. Nous préférons vous distribuer des supports intégralement rédigés, afin que la durée du cours soit concentrée sur votre propre performance.

Notre but est que l’enseignant éclaire chaque point méthodologique ou de fond, qui vous pose problème ou est susceptible de le faire. Chaque cours est un continuum qui démarre 15 jours avant la date prévue, lorsque l’enseignant annonce un thème de révision et vous donne un sujet d’entraînement (à rendre au plus tard 7 jours avant le cours).

Deux colles collectives de 15 minutes. L’enseignant donne un sujet en rapport avec le thème annoncé pour ce cours: chacun y travaille de son côté pendant 5 minutes. L’enseignant désigne ensuite deux étudiants, qui présentent à tour de rôle leur plan en 2 minutes 30. La classe débriefe pendant 5 minutes et un plan corrigé est distribué.

La préparation de l’oral est une étape difficile. Vous venez de passer les écrits, vous êtes épuisé(e) par l’année de préparation, vous ne savez pas si vous êtes admissible et vous devez vous plonger dans de nouvelles matières que vous aviez volontairement laissées de côté au cours des mois précédents.

Nous pensons qu’il est inutile à cette période de vous surcharger de cours magistraux. Nous préférons vous proposer des séances d’entraînement intensif. Le principe est toujours le même: 7 jours avant, l’enseignant annonce les thèmes à réviser. Puis le cours est découpé en trois séquences de 40 minutes chacune, selon le modèle décrit ci-dessous. A la fin du cours, vous disposez de trois fiches sur des sujets d’actualité, que vous n’aurez plus qu’à apprendre.

Etape 2 | L’enseignant désigne un candidat qui passe l’oral devant le reste de la classe. Pour l’étudiant interrogé, c’est l’occasion de s’entraîner dans des conditions aussi stressantes que celles de l’examen. Pour les autres, c’est une opportunité de revêtir les habits de jury et de détecter les erreurs que vous auriez pu commettre également, mais dont on prend rarement conscience lorsque l’on est soi-même interrogé.

Etape 4 | Deux personnes volontaires ou désignées s’expriment sur la prestation du candidat. Il est important de savoir porter le regard critique d’un jury, car cela aide à en cerner les attentes. Puis l’enseignant livre son analyse et met l’accent sur les deux ou trois points cruciaux du sujet. Il distribue une fiche de cours correspondant au corrigé détaillé du sujet, avec un maximum de références d’actualité et de propositions opérationnelles.